Confronté à une absence de débat citoyen approfondi au sein de la nouvelle instance municipale, Serge Guichard, élu, avance l'idée d'un Café-débats à Palaiseau. Dans une première démarche, il en fait part à des membres de son organisation politique.

Avec Claude Riwan, ils décidèrent de ne pas limiter le champ de cette esquisse de Café-Débats au "politique", sans ignorer cette dimension, bien au contraire.

C'est ainsi que Josette Ballini, militante associative (Parents d'élèves, Comité Paix et Désarmement, syndicat, association « Pour les yeux d'Emilie », Théâtre 91) et fonctionnaire terrritoriale (responsable d'animation à la médiathèque, responsable du foyer des anciens, directrice de structures de petite enfance), fut associée à l'aventure. Le réseau de connaissances correspondant pouvait devenir une partie du public potentiel de ces rencontres à venir.

Ensemble, après s'être intéressés de plus près aux expériences massicoises, où vivaient deux cafés-débats, l'un "Café politique", l'autre "Café philosophique" et après avoir rencontré les animateurs, ils décident de prendre une voie différente, originale.

Un moment décisif dans l'élargissement du cercle des fondateurs fut la rencontre avec Françoise Teillagory qui, rapidement , contribua avec efficacité à la création puis à la pérennité de ce Café-débats à Palaiseau.